Présents : Guy Rosa, Anne Ubersfeld, Bernard Leuilliot, Ludmila
Charles-Wurtz, Stéphane Desvignes, Vincent Wallez, Delphine Van de Sype, Delphine
Gleizes, Myriam Roman, Florence Naugrette, Jean-Marc Hovasse, Sandrine Raffin,
Isabel Nougarede, Marieke Stein, Sylvie Vielledent, Claude Malécaut, Mireille
Gamel, Ruschka Haglund, Françoise Chenet, Chantal Brière, Olivier Bara, Bernard
Degout, Mathieu Liouville, Loïc Le Dauphin, Hélène Labbe, Colette Gryner, Bernard
Le Drezen, Pierre Georgel, Laurence Bertet, Aurélien Pernot, Olivier Decroix,
Brigitte Buffard-Moret, Jean Laulom, Elisabeth Russo.
Le groupe accueille plusieurs nouveaux venus : Brigitte Buffard-Moret, qui travaille sur les formes poétiques héritées de la chanson populaire, Jean Laulom, hugolien "rabelaisiant", Olivier Bara, qui travaille sur le théâtre, et Aurélien Pernot, conférencier à la Maison Victor Hugo et étudiant de DEA.
G. Rosa fait circuler quelques publications nouvelles : l'édition d'A. Laster du Théâtre en liberté, en Folio "classiques" ;
Autour des Orientales, n° 5 de la série « Hugo » dans la Revue des lettres modernes ( textes réunis par Claude Millet) ;
Victor Hugo et le désir de savoir, de Véronique Dufief-Sanchez, éditions L'Harmattan (l'étude concerne Quatrevingt-Treize, La Forêt mouillée et La Fin de Satan) ;
un hors série de la collection "Découverte Gallimard", Victor Hugo - Dessins, par Pierre Georgel ;
enfin, l'édition de Judith Wulf de Quatrevingt-Treize, Garnier-Flammarion.
D. Gleizes présente la revue Le Croquant, dont le dernier numéro propose un dossier sur Victor Hugo, auquel ont participé Laudyce Rétat, G. Rosa et, surtout, Delphine Gleizes, auteur dun article « Hugo et les « gimages » » et dun entretien avec Michel Butor.
G. Rosa signale la présence, dans le dernier numéro d'Hommes et Libertés, revue de la Ligue des droits de l'homme, dun dossier consacré à Hugo auquel ont participé Nicole Savy, Franck Laurent, Guy Rosa, Claude Millet, Marieke Stein, Jean Delabroy et Henri Leclerc pour un article sur la peine de mort dont G. Rosa souligne léblouissante qualité de pensée, dinformation et de style.
Des photos circulent du colloque de Cerisy, qui a eu lieu cet été, et ceux qui y étaient se regardent avec une complicité de grognards.
G. Rosa lit le programme du colloque international qui se tiendra les 5 et 6 décembre à la maison de l'UNESCO ; il est consacré à "Victor Hugo et le débat patrimonial" et placé sous la direction de Laurent Recht, professeur au Collège de France. Au nombre des intervenants annoncés, D. Gleizes parlera de "Victor Hugo et le problème des restaurations françaises", F. Chenet du "paysage comme patrimoine chez Hugo", Jean Gaudon de "Pour et contre le décor?".
Aujourdhui même et demain se déroule au Musée Tourgueniev de Bougival un colloque "Victor Hugo, Ivan Tourgueniev et les droits de l'homme", organisé par Denis Sellem et Alexandre Zviguilsky, dont G. Rosa donne lecture du programme, non sans avoir regretté que le calendrier nait pas permis déviter le chevauchement avec cette séance du Groupe.
Une journée d'étude sur les adaptations cinématographiques des oeuvres de Victor Hugo aura lieu à l'Institut des sciences de l'homme de Lyon le 5 décembre ; elle s'accompagnera d'un séminaire sur le même thème les jeudis 14 novembre, 6 février et 6 mars.
On demande un compte rendu, dans ses grandes lignes, du colloque de Valence, consacré, la semaine passée à « Hugo et lonirisme ». I. Nougarède y a assisté ; F. Chenet la organisé ; Jean Maurel, Jean-Claude Fizaine, A. Ubersfeld y ont participé. Les communications, rapporte I. Nougarède, étaient pleines dintérêt : elles étudiaient la manière dont une littérature s'abstrait du réel pour découvrir une réalité plus profonde. Le cinéma fut envisagé également, à partir de L'Ange exterminateur de Bunuel en particulier. Ce colloque, explique I. Nougarede, a révélé qu'il était impossible de définir une seule et unique chimère hugolienne.
G. Rosa engage les membres du groupe qui ont fait des voyages, participé à des colloques, donné des conférences à évoquer leurs expériences. Linvitation ne rencontre pas un succès foudroyant. F. Naugrette se dévoue pourtant. Elle nétait pas mécontente des 300 personnes venues écouter, à lInstitut des Hautes Etudes de Bruxelles, sa conférence sur "les emplois dans le théâtre de Hugo", ni non plus des 28 élèves dune classe de CM2 de Seine-Maritime, quelle initiait. Les petits sinquiétaient dune question : "Est-ce que Victor Hugo était gentil avec les femmes?" F. Naugrette a cru devoir les rassurer : "Très gentil...". Jean-Marc Hovasse témoigne de luniversalité de cette préoccupation, à laquelle il apporte la même réponse. Car les amours des poëtes envahirent souvent la littérature de récriminations pas celles de Hugo.
A. Ubersfeld, en Russie, cet été, a parlé de l'Europe chez Victor Hugo. A Valence, elle a développé un sujet plus neuf : le rêve du Dernier Jour d'un condamné, montrant le rapport particulier de l'écriture au rêve, étudiant aussi le réinvestissement romanesque du rêve réellement rêvé, ainsi que la signification politique et sociale du rêve ainsi transformé. Elle propose de reprendre cette communication devant le Groupe, qui ne demande pas mieux.
J-M. Hovasse raconte sa récente escapade à Saint-Prix, lieu de vacances de Hugo durant plusieurs années : parc très beau, maison, ou plutôt château, demeuré identique ; autres villégiatures, inconnues de tous et signalées par les imbattables érudits locaux. Mais il a poussé plus loin cet été pour une tournée de conférences : sillonnant le Brésil, remontant les rios, pénétrant les virginités forestières. Non sans remarquer que les brésiliens appréciaient particulièrement dentendre parler politique. La lecture de la lettre de Hugo pour le monument de Ribeyrolles a fait effet ; on sintéressait aussi beaucoup, sans que J.-M. Hovasse comprenne bien pourquoi, à la Commune de Paris : l'histoire révolutionnaire semble concerner les Brésiliens.
J. Cassier a repris et augmenté ses deux bibliographies. La sélective est maintenant pratiquement complète pour luvre ; lexhaustive interrogeable passe de 17455 à 20313 références. Y figurent les livres de la bibliothèque d'Hauteville-House, selon les listes établies par Berret et Barrère. B. Leuilliot indique la nécessité dy inclure tous les livres donnés comme « utilisés » par les notices des oeuvres dans lIN et dont beaucoup ne figurent plus à Hauteville-House, tout simplement parce quils en ont été retirés par les éditeurs de lIN au moment de leur travail.
G. Rosa annonce que la bibliothèque du XIX° siècle sapprête à acheter la totalité des microfilms des manuscrits de Hugo à la BNF - si leur prix le permet, ce qui devrait être le cas. (Et précise que notre lecteur-reproducteur de microfilms est tout neuf.)
F. Naugrette annonce que le Ruy Blas de Marcel Maréchal sera donné au Centre dramatique national jusqu'au 2 décembre.
Beaucoup de hugoliens, invités au Mangeront-ils ? mis en scène par Julien Téphany, lont vu et en ont été enchantés; en février celui de Benno Besson, actuellement à Genève, sera donné à Paris.
V. Wallez a vu L'Angelo, tyran de Padoue en russe, avec sous-titres : mise en scène amusante et curieuse, très marquée par lhéritage de Stanislavski ; la scène entre la Tisbe et Catarina, en particulier, devenait une véritable scène de comédie à la russe...
Loïc Le Dauphin annonce un Cromwell monté par la Compagnie de l'Etoile, et qui sera à l'affiche du 7 au 17 novembre 2002 au Théâtre du Coteau, au Plessis-Robinson. Renseignements et réservations au 01-46-30-45-29.
LIntervention se joue au Théâtre des trois bornes (métro Parmentier).
La Légende des siècles est lue demain, dimanche 20, à la Comédie française, en continu de 14h. jusquà ce que mort sensuive. Des extraits du même recueil sont lus par Vincent Wallez entre autres- le même jour, laprès-midi à la Maison de la Place des Vosges.
Pierre Georgel poursuit ses démarches pour la restauration du monument de Rodin dans un cadre digne de lui (voir le compte rendu du 15 décembre dernier) ; lattentat dont a été victime le maire de Paris les a seulement retardées.
On a pu lire récemment dans les journaux le récit, assez obscur, des mésaventures dune statue de Hugo commandée à Ousmane Sow, dont la Préfecture de police a interdit linstallation après lavoir autorisée. Sa photo se trouve sur le site de lartiste (www. ousmanesow.com) ; le visage est beau. (Information communiquée par Mme Reine Prat)
Armand Erchadi vient de soutenir un mémoire de maîtrise tout à fait remarquable sur « Lérotique hugolienne ».
Avec un plaisir évident, G. Rosa présente les statistiques de fréquentation du serveur. Les données brutes du trafic, d'abord : le site enregistre 630 000 requêtes en deux ans (c'est beaucoup!), soit une moyenne de 703 requêtes par jour. Chiffre qui nest pas sans signification puisque les accès « mécaniques » (le logo de Paris 7 par exemple) ont été retirés. Le site a été consulté par 119 000 hôtes distincts.
Au total 16,9 GO ( soit 16,9 milliards d'octets une communication en compte 75 000 en moyenne) ont été transférés. Les consultations du site sont assez régulières toute la semaine, avec un pic de fréquentation le mercredi ce qui indique des scolaires, ou leurs professeurs; la tranche horaire 17h-19h est la plus fréquentée. Le trafic augmente progressivement de la fin de lannée 2001 au mois de mars 2002 et décroît ensuite, mais pas trop fortement : en septembre 2002, moitié du trafic de mars.
Si lon entre dans le détail, les chiffres sont plus satisfaisants encore parce quils prouvent non seulement que le site est beaucoup interrogé, mais quil lest de manière pertinente à sa nature propre et non sans intelligence.
Données générales
- 10 000 réponses ont apportées à une question posée au catalogue de la bibliothèque du XIX° siècle.
- 8 400 réponses ont été fournies à une question posée à la bibliographie Hugo interrogeable et 3 000 appels ont été adressés à la bibliographie sélective de Jacques Cassier (pourtant mise en place récemment).
- 7 700 réponses données par la chronologie interrogeable ( et 6 300 appels demandant la fiche détaillée d'une date)
- 7 800 appels de la liste des « textes accessibles » sur le site (15 textes).
- 9 000 appels du formulaire permettant une « recherche indexée » sur lensemble du site (mais on ignore les questions posées, cest dommage).
- 6 800 appels de la page contenant la liste des communications antérieures à lannée en cours.
Données analysées
A partir des 3 000 appels de la bibliographie sélective, certains textes de Hugo intéressent plus que d'autres ; cela va de 918 chargements de la bibliographie des Contemplations à 107 pour Inez de Castro et 107 également pour Mes Fils. Chiffres incroyablement élevés compte tenu de la très faible notoriété de ces textes.
La page du centenaire a entraîné 2 000 demandes concernant des publications (c'est bon signe!) ; 1700 de la liste des colloques, 1 155 pour celle des conférences. Le prospectus du livre de Henri Pena-Ruiz et Jean-Paul Scot, Un poète en politique a été chargé 1 200 fois, celui des Frontières effacées dirigé par Mme Peyrache-Leborgne 438 fois ; 361 pour Hugo et lOrient ; 331 pour Hugo et Dieu etc. Quant aux programmes de colloques, cela va de 793 pour Hugo politique (Besançon) et 751 pour celui dOrsay à 51 pour le colloque de la rue dUlm.
Outre les communications faites lors des séances du groupe Hugo, plusieurs textes sont en ligne mais ne peuvent être que téléchargés au format « .doc ». Les chargements vont de 1 941 pour Victor Hugo, l'éclat d'un siècle, d'Annette Rosa et 982 pour l'article de F. Laurent, "La Question du grand homme" à 130.
Dans la bibliographie, quelques liens permettaient d'accéder directement à l'article. Cétait de la peine pour rien : chaque article nest demandé à ce titre que de 10 à 50 fois.
Communications aux séances du Groupe
Là en revanche, on a un vrai motif de satisfaction et le temps passé par Mme Sahnoun-Ghermaoui à scanner les textes, par moi à les mettre dans la machine et à la faire fonctionner, semble avoir été bien employé.
Car les 141 communications actuellement disponibles en format « htm » et les 116 en format « doc » (téléchargeables) ont généré respectivement 140 000 et 25 000 appels, soit, pour chaque texte, un moyenne de 984 et 212.
Or il faut souligner quil s'agit là de demandes volontaires : aucune communication ne peut être atteinte directement à la seule ouverture du site. Plus significatifs encore sont les chargements au format « .doc », puisque ceux-ci ne peuvent être obtenus quà partir de la même page en « Html ». Concrètement, il est plus que probable et les chiffres vont en ce sens- que les textes sont lus, ou du moins consultés, en « htm » et, ensuite, au gré de lintérêt, appelés en format « .doc » pour être enregistrés sur le disque. Ce qui se produit une peu plus dune fois sur cinq.
G. Rosa fait circuler la liste complète, avec tous les chiffres. Non sans attirer lattention sur le fait que tous les textes nont pas été installés en même temps. Les plus récents lont été immédiatement, les anciens ont été scannés progressivement et ce nest pas fini. Certains ne sont disponibles que depuis quelques jours la communication de Pierre Georgel « LHistoire (dun crime) photographe » et celle de J.-C. Fizaine « Droits de lhomme, colonisation et esclavage » sont dans ce cas. Le nombre des consultations sen ressent évidemment. Dautre part, il ne faut pas interpréter les chiffres comme un palmarès, ou alors comme le palmarès, également, des dispositions des lecteurs incompétence comprise et, surtout, déterminations scolaires : tout ce qui concerne Les Travailleurs de la mer a été beaucoup demandé, sans doute parce que le roman était au programme.
Ces réserves faites, on peut signaler dimportantes variations, depuis les records atteints par Ludmila Wurtz pour la communication de 1995 sur « Les interlocuteurs de la poésie lyrique de V. Hugo» (3744), par J-M. Hovasse (célébrité oblige!), dont le "Verlaine - Hugo" a été demandé 3224 fois, par Sylvie Vielledent (« Les parodies dHernani » : 2912) et par Nicole Savy (2671 pour « LEurope du gothique au géopolitique ») jusquau 537 de Guy Rosa (« Vers brisé, comédies cassées : sur lemploi du vers dans le second théâtre de Hugo ») ou moins encore...
Le rapport entre le nombre de chargements « htm » et le nombre de chargements « doc », dont on a vu à quel geste il répondait, intéresse également et corrige les valeurs brutes. Il est en moyenne de 22% mais descend à 6% pour la même communication de Ludmila Wurtz qui avait le record en valeur absolue (ce qui laisse tout de même 236 chargements en « .doc », soit plus que la moyenne). Exprimés en pourcentage (de chargement « .doc » sur les chargements « htm »), les « records » sont ici ceux dAnnie Ubersfeld et de Delphine Gleizes : 47% (« Lautocensure du Roi samuse » et « Pâquette la Chantefleurie, Marie-Madeleine de la déréliction? La représentation des "vanités" dans Notre-Dame de Paris »), de Claude Millet : 41% -« La vérité du légendaire », et de Nicole Savy : 34% pour la même « Europe du gothique au géopolitique. »
Evidemment, aucun de ces chiffres n'implique que les textes aient été lus ; ceux des ventes en librairie non plus.
B. Leuilliot : Tout cela me rappelle un texte que Umberto Eco avait écrit il y a dix ou quinze ans sur la manie de la photocopie. Il racontait qu'il ne cessait d'accumuler des photocopies en se disant "ça pourra servir un jour"... Si bien que, envahi par ces papiers, il a dû déménager!
Quant aux consultations des articles sur le site, certes, leur chiffre est encourageant. Dautant plus quil est presque impossible de se procurer les revues où les articles paraissent. Je cherchais récemment les actes du colloque de la Société des études romantiques sur Les Misérables, chez SEDES ; je suis allé jusquà me rendre à ladresse indiquée sur la couverture de Romantisme, je suis tombé sur le siège social de Vivendi Universal Publishing! doù jai été rapidement éconduit. Ce nest pas tout de publier, encore faut-il quon puisse être vendu. Nous ne le sommes pas et nos travaux sont vains!
G. Rosa : Cest précisément lune des utilités de notre site. Le colloque dont tu parles date de 1995 ; le site du Groupe remonte, lui, jusquà 1986.
Surtout, comparés aux tirages de librairie, nos chiffres sont plus quhonorables. Beaucoup de textes sont chargées plus de mille fois : un peu plus que le tirage de Romantisme (qui est vendu pour plus des quatre cinquièmes à des bibliothèques !) et nettement plus que les ouvrages de Champion (publiés à grand renfort de subventions venant des mêmes Universités qui pourraient les économiser par la publication électronique!).
Voilà pourquoi, une fois de plus, jencourage les collègues et étudiants à nous confier leurs textes pour quils soient rendus disponibles sur le site. Ce dont, jy insiste, ils ont parfaitement le droit. (Ils ne lont pas que sils ont signé un contrat réservant explicitement le droit de publication numérique à léditeur ou à un autre organisme.)
La visite, à 15 heures, des tours de Notre-Dame, impose de finir la séance à midi ; le groupe n'a donc pas le temps de discuter ; B. Leuilliot commente tout de même le graphique distribué de la chronologie des publications hugoliennes : on y remarque quelles chutent pendant les guerres, mais il ne faut pas oublier que les textes de Hugo étaient, durant la dernière, lobjet de publication clandestine en tracts. A. Ubersfeld, très amusée, constate à la lecture de ce graphique qu'elle a participé à trois célébrations.
Il faudrait plus de talent que nous nen avons pour dire le plaisir et lintérêt de cette visite auxquels un très beau temps ajoutait son sourire. Avec ou sans talent mais de tout cur, la quinzaine dentre nous qui ont gravi les 307 marches (soit 20,46 marches par personne) remercient de leur accueil et de leur science Madame Jacqueline Maillé, Conservatrice de Notre-Dame et de la cathédrale de Saint-Denis, et les personnes qui sétaient jointes à elle pour nous accompagner.
Le groupe fixe le calendrier des séances pour l'année 2002-2003 : nous nous réunirons le 16 novembre, le 7 décembre, le 18 janvier, le 8 février, le 15 mars, le 26 avril, le 24 mai et le 21 juin. Le programme détaillé de ces séances sera fixé ultérieurement. Annie Ubersfeld donnera, le 16 novembre, la communication dont il a été question plus haut sur « Le rêve du Dernier Jour dun condamné »
Marieke Stein
Equipe "Littérature et civilisation du 19° siècle"
Bibliothèque Jacques Seebacher, Grands Moulins, Bâtiment A, 5 rue Thomas Mann, 75013 Paris. Tél : 01 57 27 63 68; mail: bibli19@univ-paris-diderot.fr. Bibliothécaire: Ségolène Liger ; responsable : Paule Petitier
Auteur et administrateur du site: Guy Rosa.