GROUPE HUGO
Université Paris 7 - Equipe de recherche "Littérature et civilisation du XIX° siècle"

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Séance du 25 novembre 1995

Présents : Hélène Labbe, Christine Cadet, Jean-Marc Hovasse, Guy Rosa, Delphine Gleizes, Bernard Degout, Claude Millet, Pierre Laforgue, David Charles, Ludmila Wurtz, Pierre Georgel, Josette Acher, Franck Laurent, Myriam Roman, Bernard Leuilliot, Marguerite Delavalse.
... et de nouveaux venus au Groupe : Kevin Smith (Université de Princeton. K. Smith, bénéficiaire d'une bourse Chateaubriand, travaille sur les monuments publics au XIXème siècle dans la littérature), Jean-Pierre Vidal (DEA, «L'épique dans les romans de Hugo»), Stéphane Desvignes (DEA, «La notion d'infini chez Hugo»), Audrey Thomas (maîtrise sur la succession des éditions des Contemplations, histoire des éditions, philologie, réception).
Excusés : Valérie Presselin, Christian Porcq, Valérie Papier, Jean-Claude Fizaine, Jacques Seebacher, Véronique Dufief, Carole Descamps.


Colloques :

— B. Leuilliot annonce un colloque organisé en janvier 1997 par le Groupe Littérature de Strasbourg, sur le thème «Littérature majeure, littérature mineure». Les propositions de communication doivent parvenir avant le 15 février 1996 à M. Yves Delègue, 12 avenue de la Paix, 67000 Strasbourg.
Un grand auteur serait-il celui que personne ne lit ? Alors il faudrait en conclure que Hugo, écrivain "populaire", n'est pas un grand auteur. B. Leuilliot conclut ce sophisme avec humour en citant Henri Michaux : «Au delà de cinq cents lecteurs, c'est un malentendu!»

 

— Le 2 décembre, rue d'Ulm, colloque d'agrégation sur Musset. Plusieurs hugoliens y parleront : Bernard Leuilliot, Pierre Laforgue, Jean Gaudon, Françoise Chenet, Ludmila Wurtz.

 

— Une table ronde doit avoir lieu le 9 décembre (14 h.) sur la correspondance de Mérimée (Bibliothèque XIXème, Jussieu).

Actualité hugolienne :

— Franck Laurent soutiendra sa thèse le samedi 9 décembre à Lille :
«Le Territoire et l'Océan. Europe et Civilisation, espace et politique dans l'ouvre de Victor Hugo, des Orientales au Rhin (1829-1845)»
Guy Rosa profite de l'absence de F. Laurent au moment où nous annonçons sa soutenance pour ne pas offenser sa modestie et commente les trois volumes et les neuf cents pages d'un admiratif «Ça, c'est une thèse !». Il y aurait aussi, dans l'Introduction, une page splendide sur le Groupe Hugo.

 

— Lille connaîtra un mois de décembre hugolien : J.M. Hovasse nous signale qu'une lecture de L'Ane est prévue au Théâtre de La Métaphore le 16 décembre à 15h.

 

— G. Rosa recommande l'excellent livre de Pierre Georgel sur Courbet, dans la collection «Découvertes» Gallimard.

 

— et signale que Pierre Laforgue prépare une édition de Quatrevingt-treize en «Poche Classiques».

 

Le calendrier se complète :

— 16 décembre : Jean-Marc Hovasse sur le XIXème siècle dans le vol. Poésie IV.

— 27 janvier : Jean-Claude Fizaine sur le XIXème siècle dans le vol. Histoire. Titre provisoire, «Penser la crise».

Claude Millet propose l'intervention d'une de ses étudiantes de maîtrise qui travaille sur l'activité théâtrale à Rouen au XIXème siècle : elle pourrait parler des échos de la bataille d'Hernani à Rouen. Il semblerait d'ailleurs que l'impact d'Hernani ait surtout été indirect : les lecteurs du journal demandent de plus en plus de réformes au théâtre.

G. Rosa souhaiterait avoir des informations sur la seule représentation d'Hernani qui n'ait pas été sifflée, celle qui avait été organisée pour les élèves des collèges et lycées.
B. Leuilliot a eu l'occasion de constater qu'Hernani n'est pas seul en cause. Il a rencontré quelques indications qui font penser que, dans plusieurs collèges royaux, les élèves eux-mêmes, exercèrent des pressions pour obtenir des représentations des drames de Hugo.

 

Histoire éternelle de l'utopie : Formes que prend la conversation sur les systèmes universitaires... (Intermède bucolique).

G. Rosa vante le confort des universitaires et des étudiants à Toronto : salons, où l'on peut venir s'affaler dans un fauteuil au coin du feu, tandis qu'un "esclave" vient régulièrement ajouter des bûches dans la cheminée... B. Leuilliot et Claude Millet conservent, eux, un souvenir idyllique de leurs séjours à Lausanne. Les verdoyantes pelouses sont tondues par des moutons, plus silencieux et moins onéreux qu'une tondeuse à gazon. Même si un mouton, c'est tout de même moins bien qu'un daim, précise B. Leuilliot. G. Rosa a vu et cru identifier sur les pelouses canadiennes des écureuils, à moins que ce ne soit des kangourous nains (dixit)...B. Leuilliot expose la guerre qui opposa, dans les prairies canadiennes, les écureuils rouges aux écureuils noirs, finalement victorieux.


Communication de Myriam Roman : «Hugo et le roman historique» (voir texte ci-joint).


Je remercie Christine Cadet, qui a bien voulu prendre en note la discussion qui s'ensuivit... et que je retranscris ci-dessous.

 

Références

Bernard Degout : — Il me semble que vous donnez trop d'importance à Scott dans votre lecture de Han d'Islande. La source de Hugo est plutôt Chateaubriand que Scott.
Myriam Roman : — J'ai voulu exploiter ce qu'il y avait de scottien dans Han d'Islande, mais sans faire de la référence à Scott un modèle exclusif.
B. Degout : — Il me semble que le Chateaubriand des Martyrs, que Joseph de Maistre sont dans Han d'Islande les véritables interlocuteurs de Hugo.
Guy Rosa : — Les romans de Scott eurent quand même à l'époque un effet comparable à celui du Nouveau Roman sur nous. Pierre Georgel précise et étend: le roman américain et le Nouveau Roman qui en hérite.
Claude Millet : — On trouve dans Les lieux de mémoire, un article de Marcel Gauchet sur Augustin Thierry : Thierry invente un modèle pour penser une autre histoire, qui ne s'intéresserait pas seulement aux événements. Tout cela se trouve dans le livre trop méconnu de Reizov.
M. Roman : — A. Thierry se réclame d'ailleurs de Scott, qui est un modèle autant pour les romanciers que pour les historiens de l'école narrative (plus tard baptisée Ecole des Annales).


Tentation dialectique ou pensée paradoxale ? Philosophie I.

Ludmila Wurtz : — La contradiction entre éthique et historique se voit aussi en poésie dans la représentation de Dieu, comme figure atemporelle, mais demandant à être actualisée, dans cette tension sans cesse réitérée entre nécessité et responsabilité humaine. Le progrès historique semble ne pouvoir se réaliser que dans la fiction. L'histoire romantique ne serait-elle pas alors, nécessairement, une fiction ? Seule la fiction peut donner la parole à tous.
Cl. Millet : — Lorsque Hugo envisage le rapport histoire / moralité, ne pense-t-il pas à l'histoire telle que la voient les éclectiques, et Cousin en particulier ?
G. Rosa : — La perspective de M. Roman est ici incomplète : le conflit entre une raison historique d'une part, l'exigence éthique et l'émerveillement cosmique d'autre part relève d'une contradiction philosophique plus large, entre monisme et dualisme.
M. Roman : — Comme Yves Gohin l'a montré dans son étude des proses philosophiques des années 1860-1865, la philosophie hugolienne se donne d'abord comme un naturalisme, un monisme : tout provient d'un principe unique, Dieu est immanent au monde. Or cet a priori moniste est sans cesse travaillé chez Hugo par des dualismes : dans la conception d'un Dieu qui garde un "moi" et ne se confond pas avec la nature, dans une perspective éthique qui demeure marquée par le dualisme du bien et du mal, de la matière et de l'esprit. Déchiré entre un monisme de désir et des dualismes de fait, Hugo ébauche çà et là des tentatives de conciliation : envisager l'histoire comme une dialectique, ce qu'a montré David Charles dans sa thèse (la dualité est dépassée dans le processus réintégrateur de la dialectique), ou penser le lien moral d'une manière kantienne, comme le seul lien qui nous unisse à la transcendance, aux noumènes, dans un monde où nous sommes condamnés par ailleurs aux "phénomènes".
Cl. Millet : — Il y a aussi chez Hugo une troisième tentative de conciliation : le recours à l'allégorie (La Liberté, etc.) comme le seul lien qui subsiste entre le monde réel et l'idée, et la réintroduction des "machines épiques" comme colmatage, sans que cela renvoie à une philosophie cohérente.
B. Leuilliot : — Le débat dualisme et monisme est soluble dans Hégel. Mais la pensée de Hugo appartient plutôt à une pensée paradoxale. Hugo n'est ni dialecticien ni hégélien. Il le dit : «l'unité se compose d'infini». Comment être plus paradoxal ? Nietzsche, et en particulier ses pensées sur l'histoire, me semble éclairer les positions de Hugo.
M. Roman :— Je n'ai pas voulu faire de Hugo un hégélien. La dialectique reste chez lui une tentation.
F. Laurent : — Une solution qui arrangerait bien Hugo, mais qui ne marche pas.
B. Leuilliot : — Je préfère parler, plutôt que de monisme et de dualisme, de pensée paradoxale.
G. Rosa bougonne qu'il est dangereux de faire de Hugo un penseur de la contradiction pour la contradiction; il n'y a pas, chez lui, de complaisance -avec ce que cela implique de cynisme- au paradoxe et s'il ne recule pas devant les contradictions, il ne les recherche pas non plus pour le plaisir; elles sont toujours tragiques, vertigineuses, intolérables.

 

Scott et la mode historique

B. Leuilliot : — Je voulais aussi revenir sur Balzac. L'Avant-propos est un point de vue rétrospectif. Les subdivisions de la Comédie Humaine ne proposent pas une périodisation historique, mais il reste néanmoins le projet initial de Balzac, une Histoire de France par les romans. Et l'ordre chronologique est une lecture possible de la Comédie Humaine. Ce qui est curieux de l'engouement pour Scott, c'est qu'il cesse brutalement, pour être remplacé par la mode d'Hoffmann vers 1830.
F. Laurent : — On retrouve la même rupture brutale pour Byron.
G. Rosa : — En France, Scott est tout de même relayé par Balzac : il ne disparaît pas.
B. Leuilliot : — A propos de Louis XI, sa figure est réhabilitée sous la Monarchie de Juillet. Il devient le modèle du bon roi, bourgeois, proposant le premier un modèle de centralisation.
F. Laurent : — La réhabilitation de Louis XI commence avant la Monarchie de Juillet, en 1828 chez Guizot. Et même l'idée de ruse devient un progrès en politique, puisqu'on passe d'une politique de la force à une politique par le gouvernement des esprits. A propos de Scott, dans Rob-Roy, qui se déroule juste après l'acte d'union entre l'Écosse et l'Angleterre, on voit un Écossais se déclarer en faveur de l'union, pour des raisons strictement économiques : l'Écosse pourra ainsi bénéficier du commerce anglais.
M. Roman : — Cela correspond à une réalité historique, celle de la misère extrême de l'Écosse des XVIème et XVIIème siècles. P. Larousse le souligne dans l'article «Écosse». Scott, justement, souhaite la modernisation de l'Écosse par son union avec l'Angleterre, même s'il est attaché aux traditions et aux légendes écossaises.
F. Laurent : — La structure de Han d'Islande transgresse l'opposition des nations. Chaque nation, la Norvège et le Danemark, possède un double-fond : l'Islande pour la Norvège, ou la France pour le Danemark. Mais les Danois n'incarnent pas une civilisation plus avancée, car les modes françaises qu'ils ont importées (Mlle de Scudéry, les fraises de leurs costumes...) sont complètement vieillies en 1699.

 

Histoire et cosmos. Philosophie II.

F. Laurent : — Pour revenir sur dualisme et monisme, Hugo n'évacue jamais complètement la transcendance. «L'unité se compose d'infini» : n'est-ce pas parce qu'à l'époque de Hugo, on ne peut penser l'immanence autrement que sur le mode de la totalisation ? Or, réintroduire un dualisme, c'est permettre à l'infini de circuler. Hugo met en scène les ratages de l'histoire. Le point central est peut-être la catégorie d'événement. L'événement est irréductible à l'histoire, qui n'en est qu'une retranscription.
B. Leuilliot : — C'est ce que Hugo appelle le "prodige".
F. Laurent : — Oui, c'est ce que Hugo dit sur Mirabeau : «c'est un événement qui parle». L'événement chez Hugo, c'est la Révolution. Et un pur événement, sans "avant". Cela s'oppose aux idées des doctrinaires, à Quinet, mais aussi à Michelet, pour qui il faut mettre la Révolution en rapport avec la Nation. Pour eux, il faut empêcher que la Révolution soit conçue comme un pur événement. Pour Hugo, la Révolution, c'est le mal, dans la mesure où son "événement" rompt la continuité historique.
B. Leuilliot : — Chateaubriand parle, lui, de «révolutions» et non de «Révolution» : son histoire est homogène et commence avec le christianisme. Sa périodisation n'a rien à voir avec un avant et un après la Révolution. Le seul événement, c'est le gibet et depuis, «Nous sommes de ce côté-ci de la croix». L'histoire est vouée au mal, et tout providentialisme se trouve ruiné.
Pierre Georgel : — Hugo tente de penser ensemble l'histoire, la morale, et le cosmos. Michelet, procède autrement : l'histoire et l'histoire naturelle sont chez lui juxtaposées. On a souvent vu dans la peinture de Courbet la juxtaposition de deux tendances : l'histoire et le cosmos. Et la critique a longtemps interprété cette juxtaposition comme une démission de l'historien. Pas du tout, c'est une pensée organique, dans laquelle tout se tient. Et la femme se situe à l'articulation du naturel et de l'historique.
Cl. Millet : — Michelet dans La Sorcière unit, comme Courbet, histoire et cosmos. A propos de femme, en quoi la Esmeralda représente-t-elle la liberté ?
M. Roman : — Dans mon exposé, je commentais en fait la construction du livre I. Mais la Bohémienne, autour de laquelle gravitent tous les personnages du roman, représente en elle-même un avenir introuvable. C'est ce qu'a montré J. Seebacher.
Cl. Millet : — On ne peut pas confondre objet de désir et objet d'avenir.
M. Roman : — La Esmeralda représente la liberté, un art nouveau et populaire, plein de promesses, qui meurt en 1482.
P. Georgel : — Existe-t-il un travail sur la Bohémienne ?
F. Laurent : — Les Barbares, de Pierre Michel.
G. Rosa : — Donc, le roman de Hugo n'est pas un roman historique dans la mesure où il est philosophique?
M. Roman : — Oui. En fait on retrouve, à propos du roman historique, une problématique similaire à la question du réalisme dans le roman hugolien.


Mérimée et Hugo

Cl. Millet : — Dans La Chronique du règne de Charles IX, Mérimée reverse la question de l'éthique sur l'historicité. Reste une psychologie des caractères, mais qui est congédiée dans le roman par l'aspect convenu des caractères. Ne subsiste alors que l'anankè du cœur, l'archaïsme, la pulsion de mort, mais de manière moins complexe que chez Hugo.
M. Roman : — Dans sa préface, Mérimée refuse de faire de l'histoire et précise qu'il ne veut peindre que quelques anecdotes, sur le modèle des chroniques, alors que justement dans les années vingt, on proteste contre le morcellement de celles-ci. Hugo le dit lui-même dans le Journal d'un jeune jacobite.
B. Leuilliot : — Vous connaissez bien sûr l'anecdote de Mérimée rencontrant Hugo lors du Coup d'État : «Je vous cherchais», dit Mérimée. Et Hugo de répondre : «J'espère que vous ne me trouverez pas.» C'est peut-être à cause de son antipathie pour Mérimée que Hugo dédaigna Stendhal, parce que celui-ci appartenait à la "bande" Mérimée.
Hugo a cru qu'il pouvait écrire un témoignage historique sur le Coup d'État, Histoire d'un crime. Il publiera Napoléon le Petit.
Josette Acher : — A propos d'Histoire d'un crime, Hugo dit que l'histoire y rejoint le roman. Ce serait une autre manière d'envisager le problème.


Les fractures de la dialectique. Philosophie III.

F. Laurent : — A propos de la dialectique, je voulais souligner que la dialectique en France à l'époque, c'est l'éclectisme ! «Synthèse» est le mot d'ordre, et la philosophie de Hegel se trouve complètement aplatie. La pensée de Hugo est justement à l'inverse.
B. Leuilliot : — Dans l'introduction à Paris-Guide, Hugo écrit «je suis un oui qui dit non». C'est une pensée paradoxale.
P. Georgel : — Oui, mais dans le contexte, ce n'est pas incompréhensible. La dialectique chez Hugo n'aboutit pas pleinement ?
M. Roman : — Non justement. Si on prend l'exemple de la lutte de Gilliatt sur l'écueil, son travail retourne, de manière dialectique — c'est ce qu'a montré David Charles — les forces contraires des éléments en forces adjuvantes. Cependant, toute cette entreprise n'aurait servi à rien si Gilliatt, terrassé par la tempête et par la voie d'eau finale, ne tombait à genoux, en prière. Et comme miraculeusement, la tempête s'interrompt.
B. Leuilliot : — Il n'y a pas de miracle dans Les Travailleurs de la mer. Tout le travail de Gilliatt sur l'écueil est archaïque, pré-capitaliste, mais lorsque Gilliatt revient au pays, il est métamorphosé en travailleur d'une société capitaliste.
M. Roman : — Je parlais de la manière dont Gilliatt parvient à ramener la Durande. Tout ce travail accumulé est bien près de ne servir à rien et ne servirait effectivement à rien sans l'étrange intervention d'on ne sait quelle force, Dieu transcendant ou nature sensuelle.
F. Laurent : — Comme dans les délibérations morales des personnages, qui sont longues, complexes, et se terminent toujours par de brutales illuminations. De même sur l'écueil, il a fallu le travail de Gilliatt, ses multiples efforts... mais il faut aussi quelque chose en plus.
P. Georgel : — Et puis, il y a «l'anankè suprême»...

G. Rosa lève la séance sur une intéressante nouvelle : l'édition des Misérables en Penguin Books possède une annexe.... intitulée «Parenthèse»!!! Oui, il s'agit bien du livre sept de la deuxième partie. Hugo a été pris au pied de la lettre par l'éditeur.

 

Myriam Roman


Equipe "Littérature et civilisation du XIX° siècle", Tour 25 rdc, Université Paris 7, 2 place Jussieu, 75005 Tél : 01 44 27 69 81.
Responsable de l'équipe : Guy Rosa .